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Jacques COQUILLAY
Qui était Jacques COQUILLAY ?
Né le 3 juin 1935 à Châteauroux. XX° siècle Français. Peintre de nus, paysages, marines, sculpteur de bustes, dessinateur.
Jacques COQUILLAY dans le monde artistique
Après avoir fait des études à l’Ecole des Beaux-Arts de Tours, il entre à l’école des Beaux-Arts de Paris, dans l’atelier du sculpteur Marcel Gimond, puis dans celui de Hubert Yencesse et Raymond Corbin. En 1961, il fut logiste au Concours de Rome. Avec Jean Carton , Raymond Martin, Georges Hilbert, il créa un groupe de jeunes sculpteurs, encouragés par Paul Belmondo.
Il participe régulièrement à Paris aux Salons, dont il est sociétaire : des Artistes Français, dont il fut élu vice-président en 1983, d’Automne, qui lui consacra une exposition rétrospective en 1992, Comparaisons ; ainsi qu’aux Salons de la Marine, des peintres Témoins de leur temps, du Dessin et de la Peinture à l’eau.
Il expose personnellement à Paris, à la galerie Art France depuis 1970, également à Versailles, très régulièrement à Lyon et à Crécy-la-Chapelle.
Prix de la jeune Sculpture de la Société Nationale des Beaux-Arts en 1961. En 1972 médaille d’or de sculpture, en 1980 médaille d’or de peintures des Artistes Français.
Style(s), technique(s) et œuvres de Jacques COQUILLAY
Dans les années 70, il s’intéresse au pastel qu’il travaille parallèlement à la sculpture.
Il a réalisé des sculptures pour des lieux publics, dont la Marianne de la Mairie de Viroflay, la petite fille au mouton à l’Hôtel-de-Ville de Taverny ; et des monuments, dont celui du Souvenir, à la Préfecture des Yvelines, Naissance de Vénus pour une fontaine devant la gare d’Angers, en 1990 La Vague pour une fontaine à Rambouillet, en 1991 Vagabondage dans le Jardin du Prieuré au Bourget-du-Lac, en 1993 Île-de-France à la Mairie des Essarts, et Le Châle à Sèvres, en 1995 Ondine à Villepreux, etc.
Il réalise des paysages au pastel, dont la finesse des coloris et la souplesse des dégradés évoquent la qualité de l’aquarelle.
Sa sculpture figurative montre une prédilection pratiquement exclusive pour les nus de jeunes filles pubères, heureuses de leur corps sans les arrière-pensées des fillettes peintes par Balthus.